Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

LE QUEBEC

LE QUEBEC
LE QUEBEC
  • Bienvenue sur mon blog pour les amoureux de la nature et des grands espaces, pour vous faire découvrir et parcourir le Québec, au fil des quatre saisons dans une des plus belles régions du Canada. Le Québec
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Archives
Derniers commentaires
Newsletter
13 décembre 2015

faune du Quebec

61291834

61291838

hiboux

oiseaux

Publicité
13 décembre 2015

POUR RECEVOIR LES NOUVEAUX ARTICLES DU BLOG

POUR RECEVOIR AUTOMATIQUEMENT LES NOUVEAUX ARTICLES DU BLOG


Indiquez, ci-dessous,
votre Email et votre Prénom :


Prénom :

Email :


 

12 août 2011

Video de la Mauricie

23 juin 2011

LES APACHES

 

Les Apaches d'Arizona vivent en grande partie de chasse au petit gibier. Le père enseigne donc très tôt à son fils l'usage et le maniement de l'arc, pour la chasse mais aussi pour le combat. Les Comanches comme tous les Indiens, acquièrent le cheval des Espagnols. Ils vont devenir des cavaliers d'autant plus redoutables qu'ils sont d'une hardiesse et d'une témérité folles, tant à la chasse qu'au combat. Chez les Comanches, dès 11 ans un garçon allait au champ de bataille. Les femmes adoraient exhiber les trophées de guerre de leurs maris. Elles en étaient très fières. L'art des tribus du Sud-Est s'inspire de l'équilibre qu'ils ont su instauré entre une société organisée et une nature sauvage. Les tatouages, les peintures, les pierres gravées célèbrent la paix qui règne entre tous les habitants de la terre. Un des grandes figures de la tribu est le sorcier. Il est l'arbitre sacré que tout le monde vient consulter. Le conseil des sages peut-être réuni à tout moment pour régler les disputes. Les décisions sont sacrées, nul ne peut les contester. Le concept de propriété privée n'existe pas. Les tribus se partagent les terrains de chasse et les rivières poissonneuses. A l'époque l'entraide était indispensable, un homme seul ne pouvait survivre. Chaque domaine était pris en charge par un spécialiste. La survie de la communauté dépendait de tous.

 

indiens7

 

 

La Femme Indienne est une épouse fidèle et obéissante. Son mari la respecte. Le guerrier ennemi à l'obligation de lui laisser la vie sauve. Elle confectionne les habits et les bijoux. L'hiver, elle s'occupe du bois et de l'eau. Les femmes sont les gardiennes du foyer. Dans de nombreuses tribus, elles assistent aux réunions du conseil. Elles partagent les mêmes peines et les mêmes joies que les hommes de la tribu. Dès l'âge de six ans, la petite indienne aide sa mère aux petits travaux du "ménage". A dix ans, elle monte à cheval comme un guerrier, s'occupe de ses frères et soeurs et prépare le pemmican (viande de bison séchée) et les peaux des petits animaux tués par son père. Elle sait tout faire quant à quatorze ans, on la marie à un jeune brave plus âgé qu'elle. Dès lors, elle devient une véritable femme indienne. Elle monte et démonte le tipi familial lors des déplacements d'un territoire de chasse à l'autre, à la suite des bisons. Aidée par ses compagnes, elle dépouille les bêtes abattues. Ce travail pénible a pourtant sa récompense. Quelle fête pour la tribu que de se régaler des bons morceaux de viande bouillis ou grillés, comme la graisse de sa bosse. La femme indienne travaille en permanence. Elle prépare et tanne les peaux durant des semaines. Cette tâche terminée, elle taille les vêtements et les mocassins qu'elle décore avec talent.

 

indiens8

 

 

Jusqu'au XIXe siècle, des montagnes rocheuses à la vallée de l'Ohio, des plaines canadiennes au Texas, le dieu bison règne en maître. D'immenses troupeaux de milliers de bêtes migrent en quête d'herbe fraîche. Ils sont suivis par des hordes de loups attentifs à l'animal malade ou vieux incapable de résister à une attaque de la meute. C'est pourquoi, les Indiens se couvrent d'une peau de loup pour approcher le bison et l'abattre d'une flèche. Ils poussent les bêtes vers un terrain pentu où elles se brisent les pattes. L' hiver, la neige permet de les traquer plus facilement. Grâce aux raquettes de neige, ils sont rattrapés et achevés à coups de lance. le cheval bouleverse les techniques de captures. Le chasseur galope près du bison et décoche sa flèche à bout portant. Toute la viande du bison n'est pas consommée immédiatement. Une partie est découpée par les femmes en tranches fines. Les morceaux exposés au vent et au soleil deviennent de la viande séchée: le Pemmican, mélangée à la graisse et à des baies sauvages, elle retrouve une consistance appréciée et une grande valeur nutritive. Les chasseurs respectaient leur proie: Quand nous devions partir à la chasse, nous commencions par prier car on savait qu'on devait prendre la vie d'un animal. Comme on le fait chez nous, on donnait du tabac, on priait, et on ne prenait pas plus de bêtes qu'il nous en fallait". " Les Blancs se sont toujours moqués de la terre, du daim ou de l'ours. Quand nous, Indiens, tuons du gibier, nous le mangeons sans laisser de restes. Quand nous déterrons des racines, nous faisons de petits trous. Quand nous construisons nos maisons, nous faisons de petits trous. Quand nous brûlons l'herbe à cause des sauterelles, nous ne ruinons pas tout. Pour faire tomber glands et pignons, nous secouons les branches. Nous ne coupons pas les arbres. Nous n'utilisons que du bois mort. Mais les Blancs retournent le sol, abattent les arbres, massacrent tout. L'arbre dit : " arrête, j'ai mal, ne me blesse pas." Mais ils l'abattent et le découpent en morceaux. L'esprit de la terre les hait. Ils arrachent les arbres, la faisant trembler au plus profond. Comment l'esprit de la terre pourrait-il aimer l'homme blanc ? Partout où il la touche, elle est meurtrie." Si le bison est roi pour les Indiens, le maïs est tout aussi important. On en trouve presque dans toutes les tribus, mélangé aux haricots et à la courge. On les appelle les trois soeurs. Les femmes plantent les graines de maïs puis le haricot et la courge sur un monticule de terre fraîche. La tige du maïs sert de tuteur au haricot et la courge se répand au pied de la plante. Régulièrement, les femmes surveillent leur sol, éloignent les oiseaux, enlèvent les mauvaises herbes, travaillent le sol. Au cours de l'été, elles font la cueillette.

Chez les Hopis dans le Nord-Est de l'Arizona près du grand Canyon où douze villages abritent quelques habitants, le maïs se cultive sur un terrain aride, depuis plus de mille ans, c'est le fameux Dry Farming, la culture sèche. " Quand les Hopis ont quitté les mondes inférieurs, le Grand Esprit leur a permis de choisir leur destin, en proposant plusieurs sortes de maïs : les Hopis ont choisi l'épi bleu, le plus petit de tous les maïs. Ce maïs nous soutiendrait dans la vie et malgré la sécheresse et la dureté des conditions." Il existe d'autres variétés de maïs : le jaune, le rouge et le blanc.

 

indiens9

 

 

Après la récolte, le maïs est répandu sur les terrasses des maisons carrées et parvient ainsi à sécher. Aujourd'hui, la culture du maïs se pratique encore de façon traditionnelle. Le terrain sableux retient l'eau. Quelques centimètres de pluies descendues des plateaux nourrissent les plantes. Cultiver la terre dans ces régions sèches est un acte de foi autant qu'un art. D'autant que le maïs est sacré chez les Hopis. Il naît après un séjour au sein de la terre mère. Il est traité avec le même amour qu'un nouveau-né. De nombreux mets hopis sont fabriqués à partir de farine de maïs, comme par exemple le piki, ce pain fin comme du papier que les Hopis mangent depuis plus de mille ans. Il le prépare en mélangeant de la farine à de la cendre de bois. C'est un pain de tous les jours mais on l'utilise aussi pour célébrer une naissance, un mariage ou toute autre fête.

 
PROPHETIE_AMERINDIENNE_PAR_AIGLE_BLEU.4

 

 

18 juin 2011

Les Premiers Américains du Nord

 

Les premiers Américains du Nord, les Indiens étaient et restent encore aujourd'hui des chasseurs comme les Cree du Canada. Autrefois, le caribou, l'élan, l'ours, le castor et aussi bien sûr le bison étaient traqués pour leur chair et leur peau. Il y a aussi la pêche qui fait vivre des populations entières, sur la côte Nord- Ouest où le saumon est abondant. Et puis bien sûr, là où le climat le permet: l'agriculture. Le maïs d'abord: des clairières du bord des grands lacs aux plaines sèches de l’Arizona. Aucun peuple ne néglige pourtant la collecte des racines, des baies sauvages ou des plantes médicinales.

 

indiens2

 

C'est grâce au peintre Georges Catlin, qui alla vivre huit ans durant parmi les tribus des Grandes Plaines du centre, que nous connaissons l'aspect, les conditions d'existence et les moeurs de quelques tribus dans les années 1830 et 1840 - avant l'invention de la photographie et l'arrivée massive des Blancs.

 

·Comment vivent les Indiens à cette époque ?

 

Ceux de l'Est du Mississippi subissent la loi des colons depuis le début de la marche vers l'Ouest. Des traités ( non respectés ) ou des combats sanglants, les ont souvent privés de leurs terres. Ils sont refoulés sur la rive occidentale du grand fleuve où ils tentent de revivre. Ils y réussissent à force de courage et de travail. Ailleurs, dans les immensités de Far West des centaines de tribus connaissent encore la liberté, mais pour combien de temps?



 indiens3

 

 

Des tribus vivent de chasse et de pêche; d'autres de chasse et de cueillette; certaines d'agriculture primitive. La diversité de leur mode de vie dépend de la nature physique de leur territoire respectif, de ses ressources végétales et animales. Toutes ces tribus ne peuvent exister, quelque soit le degré de leur culture, sans un accord étroit avec la nature. Celle-ci leur sert puisqu'elle soutient leur existence, aussi la respectent-ils. La terre, l'eau, les nuages, les vents, les végétaux, les minéraux et les animaux composent de la sorte un monde d'harmonie qui inspire les croyances religieuses des Indiens. Loin d'être des " sauvages", ils vivent simplement selon les rythmes naturels que la civilisation des Blancs va bouleverser pour leur malheur.

 

indiens4

 

Les Sioux des plaines s'abritent été comme hiver sous le célèbre tipi. Douze à quinze perches supportent des peaux de bison tannées, traitées et assemblées par les femmes. Les peaux les plus finement travaillées et décorées sont façonnées en robes.

Dans le désert du Sud-Ouest, en Arizona, les Hopis juchent leurs villages de pierre sèche sur de hautes " tables" rocheuses, appelées " mesas" en espagnol. Ainsi se protègent ils des assauts de leurs adversaires. Les cultures s'étendent dans la plaine.

Les golfes et les criques de la côte découpée du Pacifique, au Nord-Ouest abritent les beaux villages de bois des riches Haidas, des Tlingits, des Kwakiutls et leurs voisins. Les forêts de sapins tapissent les versants des montagnes de leur pays, d'où le large emploi du bois dans la construction des demeures, des longs canoës de pêche et des totems.

   Ces peuples sont de remarquables sculpteurs et d'ingénieux fabricants de masques de cérémonie d'une surprenante beauté.



indiens5



Les Pueblos apprirent le tissage aux femmes Navajos du Nouveau-Mexique et de l'Arizona. Celles-ci devinrent expertes en cet art. Leurs tapis et couvertures sont aujourd'hui encore très réputés pour leur grande qualité.

Pour les Indiens des plaines, les hommes et les bisons ne faisaient qu'un. De la frontière du Canada au Texas, les grandes plaines de la prairie s'étendent sur plus de 1500 Km. Les différents peuples qui y vivaient ne formaient pas un ensemble homogène, les rivalités étaient nombreuses, les guerres incessantes. Rois des plaines du Nord, les Sioux règnent sur le domaine du bison. Ils en tirent leur subsistance, leur abri (le confortable tipi), leurs vêtements et bien de menus accessoires de leur vie quotidienne.




                                  PROPHETIE_AMERINDIENNE_PAR_AIGLE_BLEU.3

                                                                 A Demain

 

 

 

 

 

 

Publicité
17 juin 2011

Les Indiens d’Amérique du Nord

Leur histoire aurait commencé quelques 40.000 ans avant l'arrivée de Christophe Colomb. C'est à cette époque que venant d'Asie, ils se seraient installés en Amérique. Un pont de glace relie alors la Sibérie à l'Alaska.

Tout en poursuivant des troupeaux de mammouths, des groupes de chasseurs nomades sont passés sans le savoir de l'Asie en Amérique. Au fil des millénaires, les Indiens s'installent partout du  Nord au Sud.

indiensche

 

Avant l'arrivée de Christophe Colomb. C'est à cette époque que venant d'Asie, ils se seraient installés en Amérique. Un pont de glace relie alors la Sibérie à l'Alaska. Tout en poursuivant des troupeaux de mammouths, des groupes de chasseurs nomades sont passés sans le savoir de l'Asie en Amérique. Au fil des millénaires, les Indiens s'installent partout du Nord au Sud.

 

Une deuxième vague venant de Sibérie occupent les déserts glacés de l'Arctique, il y a 3000 ans. Ce sont les Inuits. Les peuples indiens s'adaptent aux milieux naturels les plus difficiles. Des grandes plaines de l'Ouest en passant par l'immense forêt amazonienne jusqu'à la terre de feu, ils créent des civilisations extrêmement différentes. 


Avant l'arrivée des Blancs, on estime que 7 à 8 millions d'indiens occupaient l'Amérique du Nord. Tous les vestiges archéologiques retrouvés ici et là, dans les vestiges, attestent de l'ancienneté de l'occupation du continent. Ici comme sur d'autres continents, on retrouve les mêmes signes de l'évolution de l'homme comme par exemple le façonnage de récipients, les peintures rupestres représentant les scènes de la vie quotidienne, l'expression par signes chez les peuples qui n’écrivaient pas ou bien encore les outils primitifs, mis à la disposition par la nature (pierre, os, bois taillés). Et puis, au fil du temps les techniques ont évolué comme nous le montre dans certaines régions les habitats collectifs très poussés à plusieurs étapes.

Les premiers Américains du Nord, les Indiens étaient et restent encore aujourd'hui des chasseurs comme les Cree du Canada. Autrefois, le caribou, l'élan, l'ours, le castor et aussi bien sûr le bison étaient traqués pour leur chair et leur peau. Il y a aussi la pêche qui fait vivre des populations entières, sur la côte Nord- Ouest où le saumon est abondant. Et puis bien sûr, là où le climat le permet: l'agriculture. Le maïs d'abord: des clairières du bord des grands lacs aux plaines sèches de l’Arizona. Aucun peuple ne néglige pourtant la collecte des racines, des baies sauvages ou des plantes médicinales.

Leur histoire aurait commencé quelques 40.000 ans avant l'arrivée de Christophe Colomb. C'est à cette époque que venant d'Asie, ils se seraient installés en Amérique. Un pont de glace relie alors la Sibérie à l'Alaska. Tout en poursuivant des troupeaux de mammouths, des groupes de chasseurs nomades sont passés sans le savoir de l'Asie en Amérique. Au fil des millénaires, les Indiens s'installent partout du Nord au Sud.

Une deuxième vague venant de Sibérie occupent les déserts glacés de l'Arctique, il y a 3000 ans. Ce sont les Inuits. Les peuples indiens s'adaptent aux milieux naturels les plus difficiles. Des grandes plaines de l'Ouest en passant par l'immense forêt amazonienne jusqu'à la terre de feu, ils créent des civilisations extrêmement différentes.

Avant l'arrivée des Blancs, on estime que 7 à 8 millions d'indiens occupaient l'Amérique du Nord. Tous les vestiges archéologiques retrouvés ici et là, dans les vestiges, attestent de l'ancienneté de l'occupation du continent. Ici comme sur d'autres continents, on retrouve les mêmes signes de l'évolution de l'homme comme par exemple le façonnage de récipients, les peintures rupestres représentant les scènes de la vie quotidienne, l'expression par signes chez les peuples qui n’écrivaient pas ou bien encore les outils primitifs, mis à la disposition par la nature (pierre, os, bois taillés). Et puis, au fil du temps les techniques ont évolué comme nous le montre dans certaines régions les habitats collectifs très poussés à plusieurs étapes. 


PROPHETIE_AMERINDIENNE_PAR_AIGLE_BLEU.2 

17 juin 2011

Les propheties amérindiennes

 

Les  Prophéties  Amérindiennes  d’Aigle Bleu

 

 

Aigle Bleu est né dans la province canadienne de la Saskatchewan. Il vit maintenant près de la ville de Québec et voyage dans bien des pays pour transmettre ses connaissances. Aigle Bleu est en formation depuis 1978 avec l'enseignante spirituelle de la nation Cherokee, la Ven. Dhyani Ywahoo. Il a également étudié avec Sun Bear, de la nation Chippewa et avec OhShinnah, de la nation apache. Il a aussi reçu des enseignements de Tlakaellel, de la nation aztèque, de Slow Turtle, de la nation Wampanoag, de William Commanda, de la nation Algonquine, de N'tsukw, de la nation Innu et de Tall Warrior, de la nation Mohawk. Il fonde en 1987, Pédagogies Autochtones, pour enseigner les principes spirituels et thérapeutiques des nations autochtones. Depuis il a enseigné dans plusieurs villes du Québec de même qu'en France, en Allemagne, en Belgique, en Autriche, en Suisse et aux États-Unis. En 1997, la Vén. Dhyani Ywahoo, qui est cheftaine du "Green Mountain Band of Eastern Cherokee" (Uniyunwiwa), adopte Aigle Bleu dans le clan de la patate douce de cette nation. En 2000 Aigle Bleu reçoit du centre de formation du Gouvernement de la Nation Indienne de l’Amérique du Nord, en collaboration avec son enseignante principale, Dhyani Ywahoo, un diplôme le reconnaissant comme « Guérisseur Spirituel ». En janvier 2001 Aigle Bleu commence un ministère de conseiller spirituel auprès des détenus autochtones dans une institution fédérale à sécurité maximum. Il agit comme aîné agissant et thérapeute spirituel. En 2002, il est élu représentant pour le Cercle des Aînés pour la Paix. Ce cercle est le conseil régional aviseur auprès des Services Correctionnels Canadiens qui représente les aînés amérindiens qui travaillent en milieu pénitentiaire. Il démissionne de ce travail en janvier 2003. En 2002 il fonde le SANCTUAIRE DU FEU SACRÉ, organisation spirituel dont la mission est de créer un centre de guérison pour les jeunes amérindiens ainsi qu'un lieu de pratique et d'enseignement des traditions Cherokee dans un cadre naturel et écologique. En 2003 Aigle Bleu réussis son examen pour être reconnu "Aljadohvsgi". Ce titre signifie "celui qui entend la voix de ceux qui pleurent". L'examen consiste à produire de la lumière avec son corps dans un lieu sombre. Environ 120 personnes parmi lesquels une vingtaine d'Aînés assistèrent et furent témoins de cette cérémonie. Aigle Bleu a écrit quatre livres sur la spiritualité et les traditions amérindiennes. En 1985, il écrit le livre "L'Héritage spirituel des Amérindiens" aux Éditions de Mortagne. En 1992, il rédige le livre "Le cristal en thérapie dans la tradition amérindienne" publié chez Guy St-Jean, éditeur. La même année, ce volume est traduit en allemand et en anglais. En 1999, il écrit le volume "Le Sentier de la Beauté - Cérémonies amérindiennes" publié par les Productions Orphée. En 2003 il produit un petit fascicule "Sons et fragrances pour la santé;Aromathérapie et musicothérapie amérindienne". Aigle Bleu a aussi enregistré plusieurs disques de musique amérindienne. En 1992, il produit à son compte une première cassette de chants traditionnels, "Chants autochtones de l'Isle Tortue". En 1997, il enregistre "Healing Harmonies", disque de musique traditionnelle et thérapeutique en collaboration avec Dhyani Ywahoo. Également en 1997, il compose et enregistre "Medecine Music; Words of Light", deux disques de 45 minutes accompagnés d'un court livret de quarante pages pour la compagnie de production Polygram en Allemagne. Depuis, il a produit d'autres enregistrements disponibles internationalement, soit le disque compact "Spirit Songs", "Tambours de la Terre Mère", "Mystères", "Sons du ciel", "Chants traditionnels Amérindiens" et "Chants du Cygne".

 


                                                        PROPHETIE_AMERINDIENNE_PAR_AIGLE_BLEU.1

27 février 2011

classement canalblog

27 février 2011

Tweet

                                                      

27 février 2011

NOUVEAU

 

Sur ce site vous trouverez tout ce que vous cherchez

http://boutic.symbad83.1tpe.fr

Publicité
1 2 3 4 5 > >>
Publicité
Publicité